pense a Louis

hj : désolé, mais mon frère n'a qu'a reconnaitre quil n'y a pas que lui qui peut avoir raison

hj: euh là t'es mal barré

-Philippe ce n'était pas de ma faute. Alors cesser de faire l'enfant et retourner donc voir vos mignons chose que vous savez très bien faire. Et si j'entend encore un mot de vous c'est votre chevalier qui trinqueras à votre place.


hj: conseil.....boucle là

hj : oui, j'ai remarqué Touche pas à mon chevalier Moi, je vais bouder

*Dès qu'il entendit que Louis s'en prendrait à son chevalier si il disait quoi que ce soit, Philippe trésaillit. Non, il ne serait fait aucun mal à son chevalier, il ne le permettrait pas. Il s'approcha de son frère de telle sorte que leur visage se touchent presque. Puis lui parla d'une voix très calme.*

- Prenez-vous en au Chevalier, et je puis vous assurer que le seul endroit où vous me verrez sera dans une tombe, et ce n'est pas là des enfantillages, sachez que j'éprouves pour Philippe un sentiment qui semble vous faire défaut depuis quelques temps et qui s'appel l'amour. Sur ce, Majesté, je me retire de votre Cour pour un temps indéfini. Au revoir.

*Il parti en direction de la Cour du château.*

-vous menaces ne me font rien. Je l'évincerais dès votre premier faux pas. Souvenez vous en

*rentre dansle chateau*

*Retourne le voir*

*L'attrappe par le bras*

*A des larmes de rage dans les yeux*

- Très bien, vous ne me croyez jamais, alors je sais ce qu'il me reste à faire pusique de toute façon quoi que je vous dise vous n'accorderez jamais aucun crédit à mes paroles, vous pensez toujours que j'agis comme un enfant, mais le seul enfant gâté que je vois ici, c'est vous et personne d'autre, vous vous comportez comme un égoïste, je ne vous reconnais plus. Adieu.

*Il reparti en pensant au chevalier, bien sûr, si il faisait ce à quoi il pensait, il l'abandonnerait, mais il n'en pouvais plus, il ne reconnaissait plus son frère qu'il adorait tant et celui-ci ne s'en souciait pas le moins du monde, alors, il ne le dérangerais plus.*

*l'écoute à peine tellement pris par la colère. s'en va sans rien dire*

*Continuait toujours de marcher*

*Sorti un mousquet de dessous sa chemise*

*Le regarde *

*S'arrête*

*Se tourne vers le château*

*Tire en l'air*

*Se met le canon sur la tempe*

*se retourne et regarde son frere. accour vers lui*

-Philippe mais vous ètes dingue. Bon sang cesser vos âneries

*Ne change pas de position.*

- Ne faites pas un pas de plus. Non, je ne suis pas dingue, mais si ça continue je vais le devenir, vous voyez, vous ne me croyiez jamais capable de faire quoi que ce soit, je n'ai que des paroles en l'air, mais là, je suis à bout.

*Il vit que son frère essayait de s'avancer*

- Avancez et je tire

*Réarme le mousquet*

*le regarde*

-Bien si vous avez envie de mourir soite. Quelles fleurs sur votre tombe? Roses? Bien alors je vais prévenir votre Duc que pars folie vous avez mis fins à vos jours. il va etre heureux de l'apprendre. Si vous n'etes pas un enfant comme vous le dites cesser tout de suite si vous voulez rester dans l'estime auquel je vous porte

*A les larmes aux yeux*

- Vous n'aurez qu'a mettre des roses blanches sur ma tombe, quand au Duc, vous n'aurez qu'a lui dire que si j'ai mis fin à mes jours, ce n'est pas par folie, mais justement pour l'éviter. Et en ce qui concerne l'estime que vous me portez, et bien, je vous avoue qu'il y longtemps que cela ne se voit plus, preuve en est que vous n'écoutez jamais ce que je vous dit ou que lorsque vous le faites c'est pour m'abaisser encore plus.

*Ne change toujours pas de position.*

-Bien je vous estimais comme mon confident mais comme vous penser que je suis un monstre je vous laisse avec cette idée. Je ne vois pas pourquoi me battre je vous laisse donc. Et je mettrais des roses blanches sur votre tombe pour honnoré votre mémoire. Vous faut-il autre chose?

*Tomba à genoux en pleurant*

*Lâcha le mousquet*

- Ainsi, j'en étais sûr, j'avais raison vous me laisseriez mourir, je me tuerai devant vous que vous ne feriez rien.

*Se prit la tête dans les mains*

-Si vous regardiez derière vous vous auriez vu deux gardes près de vous pour vous empècher de faire cette grossière erreur. Je leur ais fait signe de se rapprocher de vous discretement. Mais continuer dans votre entêtement je vous prie. Croyez ce bon vous sembles vous ètes très douer pour celà. Je ne vous laisserais pas mourir alors arreter

*Il tourna la tête et vit les deux gardes en question*

*Il se sentait soudain très bête.* [Ca faisait un moment qu'il l'était ]

*Il baissait la tête et ne disait plus rien, mais continuait de pleurer. Pourquoi avait-il agit ainsi, que lui était-il passé par la tête ? Louis avait peut-être raison finalement, peut-être était-il devenu fou.*

*le regarde bras croisés*

-Vous aller vous relever ou rester ainsi toute la journée? Allez donc vous reposer un moment vous en avez grandement besoin

*Le regarde*

- Oui, vous avez raison.

Encore une fois

*Se lève*

*Regagne le château la tête baissé, il n'osait regarder personne*