Intercepte un courrier

hj : Ah, ouf

*Le regarde*

*Le prend dans ses bras*

- Non mon amour, c'est moi qui suis désolé, vous aviez raison de réagir comme vous l'avez fait, je ne veux pas vous perdre, je vous aime tant

*L'embrasse*

*Reste contre lui*

-Je ne veux pas vous perdre non plus... Tout ce que je veux savoir c'est ce que me veux mon père...

*Prolonge longuement et le regarde*

- Il volait vous éloigner de moi, il a l'intention de vous faire épouser une fille qu'il a choisi pour vous. Je ne peux pas vous forcer à refuser, mais je tiens tellement à vous. Enfin, c'est vous qui décidez.

*Baisse la tête*

*Il le regarda et ne sut que dire sur le coup*

-Plutôt mourir que de faire ça! C'est peut-etre mon père mais il n'a pu la même emprise sur moi qu'avant!

hj : bah non meurt pas qd même

*Lève la tête*

*Lui sourit et lui caresse la joue*

- Alors mon coeur, dites moi ce que vous allez faire.

*L'embrasse*

hj: si je veux pas obéir à mon père! mdr

*Le regarde, Sourit et le laisse faire*

-Ce que je vais faire? Tout simplement refuser ce qu'il veut faire... Quitte à ne plus jamais entendre parler de lui au moins j'aurai une vie tranquille sans lui


hj: ca se voit je l'aime mon père

hj : bah oui, mais c'est pas une raison pour mourir

*Le serre dans ses bras*

- Mon coeur, je ne sais pas ce que je ferais si jamais un jour je vous perdais.

*L'embrasse*

hj : oui, c'est flagrant

hj: ba etre forcé a etre marié si je pref crever mdr


*Reste contre lui*

-je ne sais pas... la seule chose que je sais c'est que j'en mourrais si je vous perdais...

*prolonge longuement son baiser*

hj: mais oui ca se voit que je l'aime mdr

hj :


*Enfoui sa tête dans son cou et l'embrasse*

- Ne parlons plus de cela pour le moment mon amour.



hj :

*Le laisse faire et prolonge tendrement*

-Vous avez raison parlons d'autre chose...

*Se relève et le relève en même temps*


hj: non c'est twa ke j'aime

*Lui sourit*

- Désirez vous que nous allions nous promener ?




hj : moi aussi ze t'm

hj: tu veux pas faire mon père qu'on se tappe des barres mdr


*Lui sourit*

-Bien sur allons-y...

*prend sa main et part faire un tour avec lui*

hj:

hj : Oh si, je vais le faire débarquer à Orléans

*Arrivent dans les jardins*

*Voient une calèche arriver*

- Tiens, qui cela peut-il bien être, je n'attendais personne.

*Regarde Philippe *

- Et vous ?


hj :

hj: oh mon papa mdr

*le regarde*

-Je crois qu'il faudrait que vous partiez... je ne veux pas qu'il vous arrive quelque chose...

hj : C'est ton papounet


*Intrigué*

- Pourquoi, qui est-ce ?

*L'homme descendit de la calèche et se dirigea tout droit vers les amoureux*

Papa du chevalier[ ]

- Venez avec moi Philippe, je suis venu ici pour vous ramener avec moi

*Monsieur se mit entre les deux hommes*

Monsieur

- Vous êtes ici chez moi, et la moindre des politesses lorsque l'on arrive quelque part monsieur, c'est de se présenter car je n'ai pas l'honneur de vous connaître. Pour ma part, je suis Philippe d'Orléans, frère du Roi

Papa du chevalier

- Je ne sais malheureusement que trop qui vous êtes Monsieur, moi je suis le père de ce jeune homme, et je ne vous salue pas.

*Philippe ne dit rien, il était disposé à garder son chevalier avec lui mais le laissa répondre à son père il n'interviendra que si cela s'avérait nécessaire.*

*Le regarde avant que son père arrive*

-Mon père...

*Il regarda son père puis Philippe. Il se dirigea vers son père et le regarda dans les yeux*

-Et pourquoi viendrais-je avec vous?

*Son père le regarda étonné*

Papounet [ ]

- Pourquoi ? Mais parce que je suis votre père et que vous devez m'obéir, de plus je vous ai déjà choisi votre fiancée, c'est une demoiselle tout a fait charmante. Et de toute façon je ne vois rien qui vous retiens ici.



*Monsieur ne disait rien mais commençait à bouillir*

*Il commença à s'énerver*

-Et depuis quand je dois vous obéir?!! Vous m'avez toujours dicté ma vie et vous allez même jusqu'à me dire avec qui je dois être!! Vous me prennez pour quoi? Jamais je ne vous suivrez! Ma vie n'est plus avec vous mais elle est bien ici!!!

*Le lache pas des yeux*

hj: jle sens mal mdr

*Son père lui envoya une gifle*

Papounet

- Comment osez vous me parler de la sorte petit insolent, c'est comme ça que vous me remercier de vous avoir aimé et éduqué. Vous n'êtes qu'un ingrat. Votre vie est ici dites-vous, permettez moi d'en douter, je ne crois pas que cet homme tienne tant que cela à vous. Cessez donc de vous rendre ridicule et venez.


*Les poings de Monsieur commencèrent à se serrer de rage, mais il ne disait toujours rien.*


hj : Je crois que tu a raison

hj: m'en fou je retire pas cke g dit mdr

*Se prend la gifle et recule d'un pas à cause d'elle. Ne baisse pas son regard*


-Pardon? Vous m'avez aimé? Vous vous moquez de moi n'est-ce pas? A la moindre erreur, au moindre faux pas que je faisais vous m'en faisiez voir de toutes les couleurs... c'est cela que vous appelez aimé son fils? Je n'ai jamais connu le moindre amour venant de vous hormis les gifles que je me prenais!! Essayez rien qu'une seule fois de le toucher et là vous pouvez me dire adieu sur le champs!! Maintenant laissez-nous tranquille!! Jamais je ne vous suivrai!!


hj: voila jme suis lachée mdr

hj : tu as raison

*Son père devint rouge de colère*

*Il lui envoya un coup de poing dans la figure qui le fit tomber*

Papounet

- Je vais vous apprendre à me respecter.


*Monsieur qui n'avait encore rien dit s'interposa entre le Chevalier et son père*

Monsieur

- Arrêtez votre spectacle, pour qui vous prenez-vous pour arriver chez les gens et imposer vos volontés. Philippe ne partira pas d'ici, vous êtes peut-être son père, mais jamais vous ne l'avez aimé.....

Papounet

- Je ne vous permets pas....

*Monsieur lui envoya une gifle*

Monsieur

- Je n'ai pas fini...je disais donc que vous ne l'avez jamais aimé, contrairement à moi, je donnerais ma vie pour lui.

*Il alla aider Philippe à se relever et l'embrassa passionement.*

*Il lui sourit*

*Fit de nouveau face au père du Chevalier qui lui colla une gifle*

*Monsieur hurla*

Monsieur

- Recommencez ce que vous venez de faire et je vous fait embastillé. Maintenant vous allez me faire le plaisir de partir d'ici, vous n' êtes pas le bienvenu.


*Henri de Lorraine outré le regarda d'un air noir*

Papounnet

- Soit, je m'en vais, mais sachez que je n'abandonnerais pas et que je connais quelqu'un qui pourra m'être d'un grand secours et contre qui, vous-même, ne pourrez rien.

*Il regarda son fils d'un air méchant*

Papounet

- Je vous promet que je vous la ferais épouser de gré ou de force.

*Il remonta dans sa calèche et parti d'Orléans*


*Monsieur caressa le visage du Chevalier*

- Ca va mon coeur ?

*Ne voit rien venir et se prend le coup de poing. Se retrouve par terre complètement sonné. Regarde son père, commence à avoir peur de lui. Se relève avec l'aide de Philippe et prolonge longuement son baiser et n'eut pas le temps de réagir quand il vit son père frapper Philippe. Il regarda son père partir et fut soulager qu'il s'en aille. Il regarda Philippe et le laissa faire*

-Maintenant qu'il est parti oui ça va mieux on va dire... Je suis désolé que vous aillez assisté à tout ça... j'aurai préféré que vous n'en voyez rien...

*baisse la tête*

*Lui relève la tête*

- Au contraire mon amour, votre père sait à présent que je vous aime et que la seule personne qui pourrait vous faire quitter ce château, c'est moi et personne d'autre et ça peut importe qui il a décidé d'aller voir pour lui raconter ses malheurs.

*L'embrasse*

- Je vous aime et ne laisserai personne vous faire de mal.

*Le laisse faire et le regarde*

-Je le sais mon coeur mais quand il a une idée en tête je sais que rien ne l'arretera c'est bien ce qui me fait peur...

*Prolonge longuement son baiser*

-Avec ce qui sait passer je n'ai plus peur de souffrir... et vous en savez un peu plus sur mon passé maintenant...

hj: on dira que j't'avais rien dit ou presque sur son passé mdr

*Lui sourit*

- Ne vous en faites pas, moi aussi je suis têtu, et de nous deux je peux vous assurer que ce sera moi qui gagnera.


*Lui mordille l'oreille* [ ca faisait longtemps ]

- Oui, j'en suis heureux, si c'était là ce que vous vouliez me cacher, ce n'était vraiment pas la peine.


hj : oui, on va dire ça