se promène

*se racle la gorge*
-et bien tout va recommencer comme avant que je ne partes quelques temps en Italie...
*se stoppe quelques instants comme pour dissimuler une légère rancoeur*
-Et comme je vous l'ai déjà dit tous me méprise ici... je n'ai jamais connu pareil haine...
enfin presque...
-les coups bas vont reprendre, les trahisons...
ce que je ne veux pas... pour philippe!

-Allons donc. Je crois que mon frère ne laisseras rien passer

-Il ne sera pas assez "puissant" pour gérer tout ça...
*les regarde toujours au loin*

-Mon frère sais se faire respecter

-Je n'ai jamais dit le contraire... mais avec leurs caractères...

-Duc je voudrais vous annoncer que si vous ètes revenu ici ce n'est pas aussi pour le plaisir de mon frère. J'ai une guerre a donner en Flandre. Je souhaites et ordonne vos services à mes côtés

*le regarde*
-Si vous l'ordonnez Sir
*s'inclina*
-Je me batterai à vos cotés
*il le regarda*
-Mais avant de partir laissez moi le temps de le dire à Philippe... quand devons nous partir?

-Nous partons après demain. Je vous laisse une journée

*il refit une révérence*
-Je pense que ceci sera suffisant... je l'espère

-C'est tout ce que je vous accorde

-Je l'ai compris Sir pas la peine de me le répéter plus duremment

-Je vérifiais que le message était bien passé

-il est très bien passé Sir...
*Pense à Philippe*
*essaie de trouver comment il va lui dire*
-Combien d'hommes partent pour cette guerre?

-6.000. Je pense que pour battre 4.000 hommes j'ai assez

-Ne sous estimez pas l'adversaire Sir

-Et 4.000 hommes qui viendront de la mer. Je ne sous-estime rien

-Je ne vous critique pas Sir... je vous dis simplement ce que je pense

-Je sais Monsieur le Duc

-Merci Sir...
*aperçoit Philippe au loin avec le groupe de mignons*
*ne sait plus quoi dire*


hj: oui fo bien inventer mdr

*le regarde*


-Allez donc le retrouver

-non je ne préfère pas...

-Pourquoi?

-les mignons qui sont avec lui...

-Oh oui....

-je réfléchirai à la manière dont je lui dirai que je dois repartir
*le regarde*
*regarde Philippe au loin*